This paper contributes to the ongoing discussion in the scientific literature on the advantages and disadvantages of privatization of extension and advisory services and the shift from thinking in terms of the traditional Agricultural Knowledge System towards a broader Agricultural Innovation System.
Although innovation is understood to encompass much more than R&D, science continues to be an essential ingredient. In particular translation, adaptation and ‘valorisation’ of research results, the responsiveness of research to users’ needs and improved access to results are all regarded as important in achieving a more sustainable European agriculture. These challenges can be addressed in a number of ways including increased collaboration, networking, transdisciplinary research and co-operation between researchers and practitioners.
Recently, Agricultural Knowledge and Innovation Systems (AKISs) have gained considerable attention in scientific and political forums in the European Union (EU). AKIS is considered a key concept in identifying, analysing and assessing the various actors in the agricultural sector as well as their communication and interaction for innovation processes. Using qualitative expert interviews and organizational mapping, the features of national AKISs were investigated in selected EU member states (Belgium, France, Ireland, Germany, Portugal and the UK).
This report presents the main results of the EU-funded IN-SIGHT project ‘Strengthening Innovation Processes for Growth and Development’. The authors sketched out a conceptual framework and knowledge base for a more effective European policy on innovation in agriculture and rural areas. Both conceptual framework and knowledge base are consistent with the new European agenda for agricultural and rural policy and sensitive to the diversity of the European agricultural and rural systems.
This presentation was prepared for the meeting of the Executive Committee of FORAGRO which was held in Montpellier, France, on march 2010. The main points discussed here are the following:
- Latin America and the Caribbean (LAC) context from the perspective of agricultural Research, Development & Innovation (RD&I)
- FORAGRO – Stakeholders and Lines of Action
- Processes of identification of priorities in LAC
- Regional Consultation Process for the Global Conference on Agricultural Research for Development (GCARD)
- Priority topics for LAC Region
L'innovation est souvent présentée comme l'un des principaux leviers pour promouvoir un développement plus durable et plus inclusif. Dans les domaines de l'agriculture et de l'alimentation, l'innovation est marquée par des spécificités liées à sa relation à la nature, mais aussi à la grande diversité d'acteurs concernés, depuis les agriculteurs jusqu'aux consommateurs, en passant par les services de recherche et de développement.
On l’ignore souvent, mais l’agriculture familiale produit l’essentiel de l’alimentation consommée en Afrique de l’Ouest. Or son rôle n’est pas reconnu ni son potentiel soutenu par les politiques publiques.Les chapitres thématiques de cette publication explorent cinq champs d’innovation : « Améliorer la production », « Créer de la valeur par la transformation », « S’organiser pour agir et peser », « Maîtriser les marchés » et « Accéder au financement ».
En Europe, depuis trois décennies, la prise en compte des enjeux environnementaux dans les politiques agricoles se traduit, en partie, par la conception de Mesures agrienvironnementales (MAE), visant à promouvoir le changement de pratiques. En France, ces mesures ont été mobilisées dans différents modèles de contrats avec les agriculteurs, passant d’un paradigme basé sur la subvention de la multifonctionnalité d’une exploitation agricole à une compensation des surcoûts liés à l’adoption de nouvelles pratiques plus vertueuses au niveau des parcelles.
Les conséquences sur les territoires des changements climatiques d’origine anthropique sont variables dans leurs expressions comme dans leurs effets, et les territoires sont inégaux face à ces variations climatiques en termes d’exposition aux effets (fonction de facteurs physiques, sociaux, économiques, culturels, politiques, etc.) comme en termes de capacité de réponse (capacité d’appréhension, d’anticipation, de réparation, etc.).
L’enjeu environnemental pour les territoires croît de façon exponentielle depuis une décennie. Les décideurs politiques s’emparent de cette mouvance et favorisent des actions qui entrent dans le projet dit durable. La Région Île-de-France choisit en partie de baser son développement territorial sur l’idéologie de l’« urban greening ». Elle met en œuvre des actions pour devenir la première Écorégion d’Europe d’ici une demi-douzaine d’années et, pour ce, favorise les mesures agro-environnementales. Un des piliers de ce développement est l’agriculture biologique.